Identification
Nom:Diamond
Prénom:Maximilien
Surnom (s) :Agent 2760
Age:41 ans
Clan: Agent Secret
Rang:Agent Spécial
Caractère :Maximilien est un homme désabusé. Cynique. Il a consacré sa vie à une seule mission : retrouver la boite pour le compte de la CIA. Y sacrifiant tout : vie de famille (il est père de deux enfants dont le plus âgé doit avoir sept ans. Sa femme s’est barrée, ne pouvant supporter cette existence.), loisirs (il aurait pu devenir bassiste), sa vie… Mais au fil du temps, il a compris que le danger qu’elle représentait est bien plus important que le gain qu’on pourrait en retirer. Son but n’est désormais plus seulement de la découvrir, mais bel et bien de la détruire. Ce que ses supérieurs ne savent pas, évidemment. Renfermé, perpétuellement soucieux, il a beaucoup de mal à se lier à quiconque. Pour tromper la fatigue et l’accablement de décennies passées sur les traces de l’artefact, l’alcool est devenu son refuge. Se saouler de longues soirées durant, seul dans un appart minable ou une chambre d’hôtel à la con, est devenu un de ses rares passe-temps.
Concernant les autres clans, il n’a pas d’animosités particulières. Son boulot lui a permis parfois de travailler avec des vampires (rarement), des sorciers ou des Templiers. Il trouve les premiers vaguement repoussants, mais sans plus, les seconds intéressants, et les derniers ennuyeux dans leur fanatisme abscons. Bosser avec eux, ou les avoir en adversaire, fait partie du travail selon lui, et il ne va pas plus loin dans la réflexion. Il n’en a ni le temps, ni l’envie.
Il ne lui reste qu’un seul but : trouver la Boite, et la détruire. Après cela, il pourra aller se perdre dans le désert du Nevada, dans les profondes taïga de Sibérie, ou se faire abattre par ses supérieurs furieux. Il n’en a cure. Peu lui importera, il aura remplit sa mission personnelle. Dans un monde où les idéaux sont normalisés et aseptisés, qui d’autre pourrait en dire autant ?
Max, c’est un gars blasé. Uniquement poussé en avant par son boulot. Un type en sursis. Mais encore bien vivant.
Description physique:Maximilien Diamond mesure un mètre 90 pour 80 kilos. Que du muscle, sec et nerveux, planqué derrière un manteau noir élimé à l’intérieur duquel sont cousus des pièces de kevlar aux endroits stratégiques. Ses cheveux d’un blond sale, blanchissant trop rapidement du fait du stress permanent, encadrent un visage de patriarche ou de scientifique. On imagine pas ce grande gars agent dans le service de renseignement le plus puissant au monde. Plutôt comme quelqu’un faisant un boulot dans l’édition, la recherche, quelque chose à la fois prenant et tranquille. Ses yeux bleus et vifs -quand il ne boit pas, c’est à dire rarement- sont cachés derrière des lunettes étranges. Elles n’ont aucune correction, mais servent de projecteur pour des informations tactiques diverses. Reliées à certaines de ses armes, par l’intermédiaire d’un viseur de type super arme et une console créée par les plus grands techniciens de la CIA. Ces systèmes, rares et coûteux, lui permettent une acquisition parfaite de la cible dans toutes les conditions, si ce n’est les plus rudes (blizzard, tempête de sable, températures extrêmes..), grâce à différents types de capteurs dans le viseur. Il peut en outre recevoir les ordres du QG directement dans les yeux, par ondes radios.
Que dire d’autre ? Il a de grands cernes sous les yeux, et ses fringues ne sont jamais correctement mises. Depuis son divorce, il ne prend plus tellement soin de son apparence, même pour les cérémonies officielles. Mal fagoté, mais peu importe, puisqu’il n’apparaît que très rarement à l’ambassade et ne fait quasiment jamais (sauf cas de force majeure) de rapport à la CIA. L’avantage étant qu’il arrive très bien à se fondre dans la population des bas-fonds de Moscou, là où se cachent les surnaturaux et où se trouvent les informations. Physiquement, un bon agent de terrain, mais à ne pas présenter lors des réceptions huppés à des hauts dignitaires.
Histoire:L’histoire de Max commence début 1979, en Pennsylvanie, dans un climat de guerre froide et de choc pétrolier. Alors qu’il n’a que 3 mois, ses parents déménagent vers le New-Jersey suite à l’incident de Three Mile Island. Ils habitaient à côté. Rien ne le prédestinait à devenir agent de la CIA et à mener l’existence assez incroyable qui sera son futur. Son père, libraire, l’initie aux grands auteurs, tandis que sa mère, professeure de français dans un lycée, lui apprend cette langue. Il grandit donc la tête dans les bouquins. A l’école, il a d’excellentes notes, tant en sport, dans les matières scientifiques que littéraires. Il intègre donc une prestigieuse université. En 1994, il a 15 ans. C’est l’époque du scandale de Whitewater et de la domination américaine depuis l’effondrement du bloc communiste. A la suite d’une altercation dans la rue avec un gang de dealers, son père se fait abattre. Il rentrait du travail. Là naît sa vocation, entre les larmes : il va rentrer dans la police de New-York, et se faire affecter au Bronx. Il veut voir de prêt la réalité, droit dans les yeux, et lui loger une balle dans le crâne. Il grimpe les échelons d’une manière fulgurante. A peine arrivé au poste d’inspecteur de police, il entre plus profondément dans le quartier. Et n’en ressort que trois jours plus tard, avec des balles en moins dans le chargeurs. Il a abattu les assassins de son père dans un climat de légitime défense incontestable, mais tous murmurent que c’est surtout un bon metteur en scène. Personne ne lui reproche rien, et cette page se ferme.
1999. Il a vingt ans. La CIA le remarque. Il est affecté, plus par hasard qu’autre chose, au convois qui transporte la Boite de Pandore à la zone 51. Sans connaître, bien entendu, la nature du chargement qu’il est chargé d’escorter. Pendant l’étude, il reste un an là-bas en tant qu’attaché tactique (en clair, chair à canon). Et un soir, les alarmes sonnent, hurlent de partout. La boite a disparue. Volatilisé, envolée. Personne n’est entré, personne n’est ressortit cette nuit là. De son propre chef, il se lance sur la piste.
La piste qui commence en Colombie, là où la Guerre fait ses propres ravages entre la rébellion et le gouvernement. Il en profite pour abattre le chef d’un réseau de cocaïne. Intercepté par un agent recruteur lors de son départ vers l’Angola début 2002, il entre officiellement au service de la CIA. Il a 23 ans.
L’arrivée en Afrique est trop tardive, la Boite a déjà disparue. Les accords de cessez-le-feu du 4 Avril l’ont fait disparaître, mais un autre fléau s’est installé. La Famine. Fait étrange, Maximilien la rencontre. Brièvement, sans combats, mais c’est là qu’il comprend enfin la nature réelle de la Boite : un engin de destruction massive. Dès lors, ses recherches s’intensifient. Et il commence à boire, sans s’arrêter. Pour oublier peut-être, pour tenir le choc.
France, dans des affaires de crimes en série. En Asie, sur la trace de la pestilence, dans le cadre de la panzootie de grippe aviaire. Il suit les 4 Cavaliers au final. Il voit la Boite deux fois, mais elle semble être vivante, et prendre un malin plaisir à disparaître sous ses yeux.
Lors d’un passage au Québec à la suite de la Mort, il rencontre Sarah, une jeune femme de 5 ans sa cadette. C’est le coup de foudre. En un an ils sont mariés. Une union superbe, sans tâche, il s’est même calmé sur la bouteille. Mais la traque reprend, à la suite de la Guerre qui vient de réapparaître au Moyen-Orient, son fief incontestable. Il y va en tant que soldat du rang, pour dissimuler son véritable emploi. Dans la banlieue de Jérusalem, une balle perdue l’atteint au ventre. Il passe deux semaines dans le coma avant d’être renvoyé chez lui. Retiré du service actif. En 2010 naît son premier enfant.
Le truc, c’est qu’il n’arrête pas vraiment. Ça commence par un coup de main de temps à autres à un pote. Puis il rentre un peu plus tard de la boite de consultation de surveillance domestique où il bosse. Quelques voyages ici et là, toujours dans l’intérêt du boulot. Dans le Canada. Puis plus loin. Quand il passe deux mois en Arabie Saoudite, c’est l’escalade. A son retour, une engueulade. Sarah pète son câble. Ça se passe mal. Elle se barre avec les gamins, dont la deuxième a trois ans. Octobre 2017. Maximilien sort de chez lui, seul. Il achète une bouteille, presque par automatisme. Se calle sur les berges du Saint-Laurent. Après avoir éclusé, complètement beurré, il se jette à l’eau. Hypothermie critique.
Il se réveille à plusieurs centaines de kilomètres de là. Ses anciens employeurs le gardaient à l’œil, en cas de besoin, car il est leur plus grand spécialiste dans le domaine. Ils l’ont sauvés quand il n’avait plus rien et il leur doit une vie. Alors il réintègre le service actif, reprend son équipement, et achète un bouquin de russe avant de monter dans l’avion. Direction Moscou.
Ça fait maintenant trois ans qu’il est en poste.
Armes:Un pistolet Five-seveN, une arme produit par le Belge FN Herstal, utilisant le calibre 5,7x28 mm des FN P90. Les cartouches utilisées sont généralement des SS192 à haut pouvoir vulnérant. Un rail sous l’arme peut accepter une lampe, une visée laser ou une caméra superarme, et sur le canon peut-être adapté un silencieux. Dans ce cas, on utilisera plutôt un calibre Sb 193 subsonique, plus discret.
Selon les opérations, on pourra également le voir avec un FN P90 ou un Heckler&Koch Mp5k, mais c’est assez rare. Il n’aime pas trop ce genre d’armes automatiques, plus difficilement contrôlables selon lui.
En ville, il garde dans la voiture une arme de support légère de conception exclusive. Il s’agit d’un fusil d’assaut de configuration bull-pup ambidextre orienté sous la crosse, tirant du 6,5mm Caseless. Un lance-grenade de 25mm à 4 tirs est fixé sous le canon. Les chargeurs contiennent 30 cartouches et peuvent être déchargé en salve de 5 ou 15, ainsi qu’au coup par coup. Toute l’arme a été finie au téflon pour éviter les empreintes, et elle possède en outre un viseur couplé à la liaison superarme des lunettes de Maximilien, plus un aimpoint standart en cas de besoin. Inutile de préciser qu’au vu de sa précision, de sa puissance et de sa fiabilité, elle a une inestimable valeur.
Signe(s) particulier(s):Alcoolique, il a également perpétuellement l’air maussade et fatigué.
Talents:_Grande capacité de réaction sur le terrain, faisant de lui un agent solo hors-pairs
_Bonne précision au tir, et maîtrise de la plupart des armes à feu militaires dans le monde (exceptées les armes lourdes tels les lance-missiles et les armes de soutien tactique)
_Très bonne résistance à l'alcool (normal me direz vous)
_Polyglotte : il parle anglais, évidemment, mais aussi le russe pour les besoins de sa mission, le français depuis son enfance, et un petit peu d’espagnol.
_Capable de dénicher une bouteille sous dix mètres cubes de gravas. Le flair surnaturel.
Autre:Apprécie la littérature fantastique du dernier quart du XXe siècle, en particuliers les œuvres d’Issac Assimov, William Gibson, David Gemmell et R.E. Feist. Ainsi que les auteurs français tels Maurice G. Dantec, Mathieu Gaborit ou Mélanie Fazi (
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Connaît bien les propriétés et l’histoires de la Boite de Pandore, étant donné qu’il a passé sa vie à la rechercher.
Joue de la basse. Assez mal à présent, n’ayant pas eut le temps de s’entraîner depuis belle lurette.
Hors Rp:
Nom (ou surnom):Valouf ! Ou Meraziel. On m'appelle Pochtron aussi.
Age: 18 ans. Reste 7 ans avant qu'un cancer ou une cirrhose m'emporte.
Lien (s) vers le ou les Deviantart qui vous ont servis pour la création de votre avatar ainsi que de votre signature:Deviantart ? C'est quoi ce truc ? J'y ait jamais rien compris...
Comment vous avez connu le forum ?C'est la faute au cinglé de chef des Templier
Sam 26 Juil - 18:45
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