Les Templiers

Jadis les Templiers étaient un ordre religieux et militaire international, issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge. Il fut spécialement créer au XII ème siècle pour la recherche de l’Arche d’Alliance sous le couvert de la protection des pèlerins durant les croisades. Cet Ordre était composé des plus valeureux chevaliers que pouvait compter le monde à cette époque. Leur nombre suffisamment important leur garantissait une capacité de recherche phénoménale à travers le monde entier grâce au large réseau qu'ils formaient. Il y avait des conditions à remplir pour espérer rentrer dans cet ordre en ce temps-là. Bien sûr, à notre époque, cela à quelque peu changé, mais la plupart des critères restent les mêmes et c'est pour cette raison que cet ordre reste soudé et très privé.

]Ils participèrent également à une ou deux guerres, pensant que leur adversaire était en possession de l’Arche, mais c’est après avoir décimé les armées ennemies qu’ils se rendirent compte que la Boite n’était pas ici. Ils la trouvèrent quelques temps après, dans un endroit où ils n’auraient jamais pensé à la trouver.

C’est au XIV ème siècle que l’Ordre fut jugé dangereux car trop puissant avec en leur possession la Boite, et trop riche également. Il fut décidé alors que l’Ordre serait dissout et que, par sécurité, les dirigeants seraient exécutés. De peur de subir le même sort, les Templiers se dispersèrent de par le monde pour rester dans l’ombre. Des siècles passèrent, les Templiers restant firent rentrer dans l’Ordre quelques volontaires, bien que les époques ne se prêtaient plus tellement à l’enrôlement et à la prospérité au grand jour qu’avait connu l’Ordre, pour en arriver en 2020. A cette date, les Templiers contemporains, sortaient peu à peu de l’ombre, car ils avaient entendu des rumeurs, comme quoi la boite aurait réapparut quelque part en Russie. Nombre d’entres eux décidèrent alors de rejoindre l’actuel Maître du Temple qui se trouvait à Moscou.

† -Brefs repères historiques : Comment l'Ordre a-t-il survécu ?- †
(Selon le point de vue et les informations de l'Ordre)

Quelques dates :

- 23 janvier 1120, Lors du concile de Naplouse nait, sous l'impulsion d'Hugues de Payns et Geoffroy de St-Omer, la milice des Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon.
- 13 janvier 1129, Concille de Troyes, achève la création de l'Ordre du Temple et de sa règle.
- 29 mars 1139, Le pape Innocent II donne aux frères du Temple la protection apostolique ainsi que d'avoir leurs propres prêtres. La quête de l'Arche d'Alliance commence réellement.
- 23 octobre 1200, Après soixante ans de recherches ininterrompues, Gilbert Hérail, maître du Temple et Heinrich Walpot, premier Grand Maître de l'Ordre teutonique, découvrent ce qu'ils croient être l'Arche d'Alliance, mais qui est en réalité la Boite de Pandore. Le lendemain, poussés par une étrange folie, les deux hommes se battent en duel pour l'honneur de leur ordres respectif. Walpot s'empare de la boite et utilise son pouvoir pour blesser mortellement le Grand-maître Hérail mais ce dernier triomphe lorsque la boite tue son ancien ami... La boite divine revint donc à l'Ordre du Temple qui la plaça sous bonne garde...


I : La fin historique et la malédiction de l'Ordre.





C'est au terme de presque deux siècles d'existence, les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon connus sous le nom de Templiers, s'éteignirent officiellement aux yeux du monde le 22 mars 1312 après une triste déchéance de onze années : Depuis la perte de Saint-Jean d'Acre en 1291 au Concile de Vienne de 1311 à 1312.
Deux années après cela Le Fier Roi de Fer aux couleurs d'azur et d'or, Phillipe IV dit 'le Bel' fit immoler le Grand-Maître du Temple, Jacques de Molay et le Précepteur de normandie, Geoffroy de Charnay... C'était du moins ce que l'histoire retint de cette épitaphe peu glorieux. En effet, comme de nombreuses autres organisations politiques lorsqu'elles allaient perdre la boite, l'Ordre du Temple fut décimé. Son sort fut similaire à celui de l'Empire Perse de Darius, celui de l'Empire macédonien d'Alexandre ou encore de celui de Rome : La mort et l'oubli dans le temps.

La fin tragique de l'Ordre a donné naissance à de nombreuses légendes diverses dont la célèbre Malédiction des Templiers. Ils lancèrent le jugement de Dieu sur le pape, la famille royale de France et le pays tout entier, montrant ainsi qu'ils savaient aussi maîtriser un peu l'occulte en plus de l'art du combat et des affaires. Ce sombre baroute d'honneur fut la démonstration de ce que la foi des templiers envers Dieu pouvait donner une fois canalisée dans la boite.

Même si les gens de l'époque attribuèrent cette malédiction à quelques autres facteurs. Il est aujourd'hui certain que le Temple en est responsable d'après les propres archives secrètes et celles du Vatican : Le XIV siècle fut celui de la grande malédiction des Templiers, qui par des rituels et la force de la mort de Jacques de Molay et de leurs confrères templiers, déchainèrent la force des quatre cavaliers de l'Apocalypse sur le monde avant la boite ne disparaissent mystérieusement d'entre leurs mains...

En effet, le 20 avril 1314, mourut le pape Clément V, probablement d'un cancer des intestins, encore que la science de l'époque n'était pas aussi précise que celle d'aujourd'hui.
Le même mois, le roi demande l'arrestation de ses trois brus (belles-filles) pour adultère. Il s'agit de Marguerite, Jeanne et Blanche, toutes trois filles da la comtesse Mathilde de Bourgogne et épouses respectives des futurs Louis X (Le Hutin), Philippe V (Le Long), et Charles IV (le Bel). Pour la petite histoire, la première est reconnue coupable et enfermée à Château-Gaillard, où elle meurt en 1315. Jeanne n'est accusée que de complicité, elle retrouve sa place de reine jusqu'à la mort de son mari en 1322. La troisième termine ses jours en 1326 dans un couvent.
Suite à cette sombre affaire qui compromet gravement le prestige de la famille royale, le roi décède le 29 novembre 1314 d'un accident de cheval au cours d'une chasse. Ses trois fils n'offrent pas un meilleur résultat en matière de succesion. Louis X meurt en 1316 et le règne de son fils Jean Ier est aussi court que sa petite vie, du 15 au 19 novembre de la même année. Philippe V monte sur le trône, mais décède en 1322, n'ayant eu que des filles (qui sont écartées de la ligne de succession par les légistes royaux, qui invoquent à ce moment une règle de l'ancien droit privé franc, dite "Loi salique", donnant la préférence aux hommes). Le dernier fils de Philippe le Bel, Charles IV se remarie deux fois après la disgrâce de Blanche, et s'éteint en 1328, ses deux fils étant morts avant lui...
Le puissant et avide Charles de Valois succède alors mais meurt le 16 décembre 1325 à Nogent-le-Roi, laissant un fils qui montera sur le trône de France sous le nom de Philippe VI et commencera la branche des Valois.

La seconde branche était la famine, elle frappa la France de 1315 à 1317 dans le Nord de la France. Ainsi qu'à trois reprises dans le Sud. (De 1339 à 1341, de 1343 à 1346 et de 1374 à 1375).

La troisième branche de la malédiction frappa en 1337, créant la Guerre de Cent Ans entre la France et l'Angleterre.

La quatrième branche de la malédiction frappa en 1347, créant la pandémie de la Peste Noire qui aura provoqué, selon les estimations, la mort de la moitié de la population européenne en cinq ans, soit environ 25 millions de victimes...


II : L'ère de la Survie.

Malgré toutes les qualités que l'on connait chez ce puissant mais mystérieux guerrier qu'était Jacques de Molay telles que la fidélité ou la loyauté, la politique n'est généralement pas historiquement retenue comme l'exemple de la vertu qu'il possédait le mieux... En réalité, le 23ème grand-maître de l'Ordre du Temple avait prévu depuis longtemps la fin. Il avait été élu en 1291 pour redresser le temple en pleine crise d'identité après la défaite de Saint-Jean d'Acre. Aussi comme toute personne moyennement intelligente et prévoyante, il avait prévu l'éventualité qu'il échouerait. Il ne voulait pas être celui qui conduirait le Temple à sa perte, Alors, il fit appel à certains de ses connaissances les plus anciennes et sur qui il pouvait compter...

Les premiers de ces alliés furent la célèbre famille Von Feuchtwangen, en les personnes de Konrad et de Siegfried qui permis à certains templiers de se cacher en Italie, au nez et à la barbe du Vatican au sein de l'Ordre de Sainte-Marie des Teutoniques, le temps d'échapper aux poursuites...

Les autres "amis" du grand-maître étaient les septs chevaliers de confiance qui furent chargés d'éxécuter le rituel de la vengeance divine...
Toutefois le plus proche ami de ce héros était un chevalier de l'ordre plus obscurs que la moyenne de ses compagnons. Les frères les moins rigoristes le voyait comme un élément fanatique de l'ordre. Et ceux qui appartenaient à cette catégorie voyait en lui un être à mi-chemin entre le devoir et l'hérésie... Ses méthodes étaient détournées et il préférait le confort silencieux de l'assassinat au vacarme rythmé d'acier des batailles. Ce huitième frère, a vu son identité effacé des archives de l'Ordre et des mémoires : Il est le "sans-nom", celui qui accepta les fléaux de dieux en sont corps à la Mort du grand-maître pour les déchainer sur ceux qui avaient osé s'en prendre à l'Ordre.
Bien que sombre, il était le fidèle parmi les fidèles et la personne qui fut la plus proche de Jacques de Molay. il aura sacrifié sa vie, son nom et sa mémoire, toutes les traces de son existence pour son ami. Il est aujourd'hui "Saint Innommable" patron de l'Ordre au même titre que Saint Georges, le parfait exemple de la loyauté que se doivent les templiers les uns aux autres qui ne devait pas mourir avant que le projet de vendetta de l'organisation ne fut pleinement aboutit. L'ère de la survie développa plusieurs choses chez les Templiers : Une fraternité soudée (Les femmes étant admises dans l'ordre depuis le 30 mai 1431), un sens de la guérilla plus ardu par rapport à celui des batailles rangées et une foi encore plus exacerbée à la limite du fanatisme, sans être pour autant agressive...

Si on sait que l'ordre vit son nombre de membre diminué d'environ 90% durant ce labs de temps...De cette obscure période les traces sont minimes, les gens du Temple préférant leur survie à la commémoration...


III : La Refondation de l'Ordre.

A la fin de la guerre de cent ans et donc à la mort du Saint seigneur Innommable de l'Ordre, en 1453, les templiers considérèrent leur vengeance accomplie et commencèrent à penser à l'avenir...
En 1473, Laurent de Medecis dit "le magnifique", maître de Florence depuis moins de 4 années, fournit d'importants moyens à l'Ordre au mépris de la banque de sa famille afin qu'il se charge pour lui de retrouver la boite de Pandore et en remerciement de l'aide discrète des frères durant le conflit avec Bernardo Nardi... La situation de la banque Médicis ne cessa d’empirer pendant l’exercice du pouvoir par Laurent de Médicis, tandis que les recherches de l'Ordre restaient sans succès... Leur association prit fin avec la faillite de celle-ci moins de dix années plus tard.

Toutefois se souvenant de leurs activités financières passées, les templiers, à l'image de la société occidentale de l'époque, avaient mis un peu de côté leurs préceptes chrétiens (l'usure est un pêché.) et en avaient profité de l'occasion pour infiltrer secrètement le millieu des banques et s'y implanter suffisamment pour qu'ils en soient indélogeables sauf si l'on décidait de supprimer toutes les banques d'un coup. Celles là étant devenues essentielles aux différents gouvernements ; il n'en fut heureusement rien.
Ainsi l'organisation, restant dans l'ombre, s'implanta dans sept pays différents (France, Italie, Allemagne, Suisse, Espagne, Angleterre, Norvège) et réforma plus amplement ses traditions afin de mieux vivre cette nouvelle évolution qu'était la leur. Cette réforme connue sous le nom de "Concile de Penmarch" (1492) vit l'adoption de ce que l'on nomme aujourd'hui "Neo-Règle" de l'Ordre, assouplissant les conditions d'entrée mais renforçant l'aspect un peu communauté sectaire de l'ordre et supprimant de nombreuses formalités sans fondement, pour une plus grande efficacité dans sa misison. Les templiers disposent depuis d'une organisation très similaire qui n'aura pas beaucoup variée... La même année l'Ordre aida la couronne d'espagne à financer le voyage d'un certains Christophe Colomb vers les Indes. L'un des capitaines l'accompagnant était membre de l'Ordre, et les voiles de ses trois navires étaient blanches avec une croix rouge, attribuée faussement à l'Ordre du Christ (Portugal), noyauté depuis longtemps (1322) par les Templiers...

Leur Commanderie Générale en Suisse, ne date par contre que de 1789, quand la France connut sa révolution.

Depuis malgré de nombreux ennemis abattus, l'Ordre cherche toujours à remettre la main sur la boite de Pandore qui lui aura permis de secouer le monde de son époque sans pour le moment jamais avoir réussi son coup...

Parallèlement à son activité de mercenariat, l'activité financière de l'Ordre, bien à l'abri en Suisse est ce qui permit à l'Ordre d'accumuler au cours des siècles une technologie colossale et d'investir dans divers domaines de pointes, tels que par exemple la génétique, l'armement ou encore la communication...

† - Le Temple et l'Extérieur. - †

Voici en quelques mots les idées du Temple et ses relations avec l'extérieur.


Le Temple vis-à-vis de lui même :

Communauté très soudée vivant dans la foi, l'honneur, les finances et les armes. Les Templiers se considèrent entre eux comme de la même Fraternité/Sororité et soudé par un lien presque charnel.

Le Temple et le Catholicisme :

Les Chevaliers du Temple sont des chrétiens d'obédience catholique, ne s'en cachent pas et le revendiquent sans cesse. Ils vivent leur foi avec humilité et quasi-fanatisme sans trop verser dans l'excès moins raisonnable. Ils sont très content d'appartenir à la religion possédant le plus de fidèles au monde. (Plus d'un milliard de Catholiques dans le monde quand même.)

Ils ne battent pas dans les lieux saints quelques soit la religion du Livre qui en est tutélaire.

Le Temple et le Vatican :

Méfiance, Ils nous ont trahit par le passé... Le pape est le guide laissé à l'humanité par les apôtres du Christ. Le respect lui est du, tant pour sa personne que pour ses messages.

Le Temple et le Judaïsme :

C'est une religion différente mais où la chrétienté trouve ses racines. L'ordre ne doit jamais s'abaisser à des persécutions vis-à-vis de ceux qui vénèrent le même Dieu.

Le Temple et l'Islam :

Ennemis en temps de guerre, le Temple les considèrent aujourd'hui au même titre que les Juifs et préfèrent y voir une manière différente de vivre leur foi en Dieu, plutôt que comme des ennemis hérétiques à éradiquer. Ce sont toutes "Religions du Livre" découlant des unes des autres après tout...

Le Temple et la seconde guerre mondiale :

Le Temple condamne les paiens qui ont voulu s'ériger au rang de Dieu en massacrant le peuple dont la chair du Christ est originaire. Pour eux le nazisme n'est rien d'autre qu'un blasphème, au même égard que le racisme.

Le Temple et les Protestants / Orthodoxes :

Déviances plus ou moins pures de la religion chrétienne orginelle. Considérées avec légère condescendance lorsqu'ils s'agit des orthodoxes, une tension anime toujours les rapports avec les protestants et un conflit peu éclater à tout moment... (Et donc des relations difficiles avec la CIA)


Le Temple et les Femmes :

Aucun problème, elles sont admises dans l'Ordre depuis la fin de la guerre de cent ans. (Sans pour autant considérer comme des égales... Ce qui adviendra avec le féminisme vers la fin du deuxième millénaire.) aujourd'hui les vieux restes de galanterie des chevaliers subsistent parfois néanmoins...

Le Temple et l'Argent :

ils ne possèdent pas cette aversion catholique pour l'argent. Tout est matière à profit car l'argent est le nerf de leur guerre sacrée.

Le Temple et l'UBS :

La Banque UBS n'est que l'une des nombreuses fenêtres de l'Ordre dans le millieu de la finances. Les Templiers possèdent encore de nombreuses autres organisation du même genre à leur solde.

Le Temple et les Vampires :

Rejettons des enfers, méfiance ! Et destruction quand cela s'impose...

Le Temple et les Sorciers :

Des voies obscures sont parfois necessaires aux buts de Dieu... Méfiance également, mais c'est peut-être ici le cas.

† - Diginitaires et fonctionnement de l'Ordre du Temple - †

Le Temple, depuis l'adoption de la Neo-Règle, est organisé autour du pouvoir central du Grand-Maître, élu par l'ensemble des Templiers parmi les deux ou trois candidats désignés par les dignitaires réunis en 'chapître de désignation' (Sénéchal excepté). Le sénéchal est exclu du processus de désignation mais vote également pour le Grand-Maître avec une voie qui elle compte double...
Grand-Maître, Sénéchal et autres dignitaires forment le 'chapître permanent', chargé de prendre les meilleures décisions pour l'Ordre et d'assigner le budget en fonction des différentes missions de l'Ordre. Voyons donc quelles sont les fonctions des gens qui occupe cet organe majeur.



Le Maître ou Grand-Maître :

Appellations: Seigneur, Maître, Grand-Maître, Altesse...

Il est l'autorité majeure du Temple et occupe en même temps les fonctions de président du conseil d'administration au sein de l'Empire financier de ce dernier. Toute décision du maître n'est contraignable que par l'unanimité des cinq autres dignitaires, et il dispose d'un droit de véto aux propositions du conseil. De fait, la plupart du temps le chapitre argumente et le maître décide.

Au sein de l'Ordre, le maître est élu au suffrage universel direct, avec un scrutin à la majorité simple (Règle du Lys Noir : Toutefois si les abstentions sont plus fortes que les nombres de suffrages exprimé, le chapitre peut revenir sur l'élection et désigna de nouveaux candidat.)

Le maître décide également pour l'implantation des modifications génétiques-biomécaniques non-conventionnelles chez l'un des frères de l'organisation... Il estle seul à décider de l'engagement de l'Ordre dans une bataille et de sa représentation vis-à-vis des puissances étrangères. au Moyen-age, le maître du temple avait le rang d'un prince souverain, aussi grand et noble que celui d'un roi. Même si les privilèges de l'Ordre ont été supprimé, cette aura d'honneur et d'importance entoure toujours la plupart des personnes qui revêtent le titre et représente l'incarnation de la plus prestigieuse noblesse d'armes qui soit aux yeux des Templiers...

Ce pouvoir immense du maître s'explique par la nécessité de survivre qui a habité l'ordre durant une longue période de son histoire.


Le Sénéchal :

Appellations : Seigneur, Sénéchal, Maître de Guerre...

Désigné de manière purement discretionaire par le maître à son élection, le sénéchal est deuxième dignitaire de l'ordre après celui-ci. Il se charge d'une mission d'assistance et de conseil privilégiée auprès de celui-ci et est l'autorité supérieure en cas d'absente du premier. Il co-préside ce qui concerne la gestion des missions guerrières de l'Ordre (Mais ne décide rien concernant leur création ou leur fin sans l'accord du maître ou de celui du chapître entier.) Il défend également les sceaux de l'Ordre.


L'Archiviste :

Appellations : Maître-Archiviste, Seigneur...

L'Archiviste en tant que disgnitaire possède la charge de la garde, de la traduction, de la préservation et de l'actualisation des archives secrète de l'Ordre, ainsi que de la constitution de se Bibliothèque Génétique et la direction de toutes les recherches dans le domaine de la biomécanique servant à améliorer les Templiers.


Le Commandeur :

Appellations : Seigneur-Commandeur. Seigneur-Inquisiteur...

En temps de paix ainsi qu'en temps de guerre, le Commandeur est responsable de la discipline et de l'observation des règles de l'Ordre et des décisions du chapître. Il conduit les enquêtes internes sur les membres deviant et décide de la modération de la peien qu'il fait voter par le chapitre (ou approuver par le Grand-Maître). Protecteur des Commanderies Templières, il personnalise la droiture et la justice et est souvent craint des frères et soeur les plus jeunes.


Le Drapier :

Appellations : Maître des Armes, Seigneur-Armurier...

Le Drapier s'coocupent de tout l'équipement de l'Ordre y comprit des Armures de Batailles de celui-ci. Il gerre également la recherche en armement et l'intendance des Commanderies... Il n'est plus un dignitaire secondant le commandeur mais bel et bien un membre du chapître à part entière depuis l'adoption de la Néo-Règle.


Le Frère-Chapelain :

Appellations : Archevêque, Seigneur-Prêcheur...

L'armure du frère chapelain est toute de rouge. Il est celui qui préside aux messes et à toutes les cérémonies de l'Ordre tels que les Hymne de Batailles, les Intronisations, les Excommunions, bref... Tout ce qui a besoin de la parole divine et Dieu sait que ca fait énormément de choses. Il s'occupe également de dirgirer les cliniques de soin internes et préside aux confessions des membres de l'Ordre. Il possède un statut similaire à celui d'Archevèque et incarne la foi quasi-sans faille des Templiers.

† - Une partie des Points Forts de l'Ordre - †

Au cours des siècles, les templiers ont put établir des relations et collecter de nombreuses informations sur la boite de Pandore. Ils sont également très riche, puisque les relations en question sont principalement dans les millieu de l'industrie technologique de pointe et la finance.
Aujourd'hui toutefois les Templiers représentent avant tout une puissance millitaire de premier ordre. Leur armée s'organise peu à peu et leur influence dans les grandes banques mondiales leurs ont permis de développer un arsenal de pointe pour parvenir à leurs objectifs. Cet arsenal comprend deux catégories d'armes : Armes conventionnelles et modification du potentiel humain...

Quelques armes conventionnelles particulières à l'Ordre :

- Armures de Batailles : Armure stylisée augmentant la résistance aux chocs et résistants aux armes de petits calibres. On ne peut utiliser ces armures en dehors des cérémonies officielles et des autorisations du maître. L'ordre cherche a opéré dans la discretion et ces dispositifs bien qu'efficace ne sont pas discret du tout. En tant ordinaire les armures de batailles sont rangées au QG de l'ordre.
- Hélicoptère Tigre 'Templar' : Dernière version de l'Hélicoptère tigre, créé spécifiquement par EADS et doué des dernière technologie en vigueur dans le monde millitaire. Aujourd'hui principaux véhicules aériens de l'Ordre. Pesant 6 tonnes, équipé d'un rotor quadripale de 13 mètres de diamètre et motorisé par deux turbines de 1485 ch de puissance chacune au décollage.
Contrairement au premier Tigre, ce modèle est maintenant totalement furtif. Le joli joujou est doté de trois canons jumellé de 30 mm au lieu d'un seul, lui offrant ainsi une plus grande force de destruction. Le nombre de missiles reste le même, il en va de même pour les roquettes.(2x22)
- Lames Tronçonneuses : Les armes dites tronçonneuses sont relativement courantes dans l'Ordre du Temple. L'arme est composée d'une poignée recouverte d'un grip ergonomique dont le pommeau et la garde sont régulièrement gravés et sculptés de symboles tels que la croix. Un mécanisme de démarrage de la chaîne est intégré près de la garde(sous forme d'une poignée supplémentaire). Le moteur entraîne la chaîne à prés de deux cent kilomètres/heure, bien que la vitesse puisse être adaptée selon la pression du poing sur le mécanisme d'activation de l'arme.



Améliorations génético-chirurgicales :

Avant d'être promu chevalier, l'aspirant passe sur la table d'opération où il subit de lourdes interventions. Survivre à cette épreuve est le dernier obstacle à l'admission en tant que chevalier.

Chacun d'entre eux reçoit :

- Un implant communicateur fixé à l'intérieur de l'oreille gauche.
- Un système fixé au coeur permettant le suicide en cas de capture par l'ennemi (Poison violent donnant la mort dans les 20 minutes / Les templiers ont l'antidote).
- Une petite "boite noire" fixée à la colonne vertébrale qui enregistre et encode toutes les données physiologiques du porteur et est transmises aux chercheurs. Ces données s'accompagnent de la localisation géographique du porteur...
- Une énorme chirurgie cardiaque permettant au coeur d'accélérer jusqu'à un stade insoutenable pour le genre humain classique (437/450 battements minutes). Quand le coeur bat à cette vitesse, le corps humains est capable de prouesse qu'il ne pouvait pas exécuter avant : Soulever des choses plus lourdes, augmenter son acuité visuelle, avoir des réflexes prodigieux, réflexion accrue... Cela ne les renforce pas autant sur le plan de la vitesse au même niveau que les vampires, mais les rends bien supérieurs aux humains classiques... (Sans pour autant en faire des dieux, faut pas exagérer hein!) Il est très dangereux de maintenir cette capacité très longtemps... (Vertiges, douleurs articulaires, troubles de l'équilibre, fractures osseuses, malaises... Et à la fin si on force trop : La mort.)

Certains Templiers, avec l'autorisation du maître, se font installer des modifications encore peu fiable en guise de test. Le maître actuel est de ceux là. Toutefois les effets secondaires sont tels que ce genre de pratiques est souvent déconseillé et 'publiquement' considéré au sein de l'Ordre comme un acte de suicide. Ce qui, il faut bien l'avouer, est le cas la plupart du temps...
Depuis une dizaine d'année ces implants sont illégaux dans la plupart des pays d'occident, ce qui fait que les templiers sont mal vus de la CIA à ce sujet...

Tout d'abord, l'entrée dans l'ordre est gratuite et volontaire. Le candidat peut être pauvre ou riche, noble ou pas. Avant toute chose, il fait don de lui-même. Il était nécessaire qu'il fût motivé car il n'y a pas de période d'essai par le noviciat comme dans la chevalerie normale... L'entrée est directe (prononciation des vœux) et définitive (à vie)... (Les chevaliers ont toutefois, une formation continue à partir de leurs entrée de l'Ordre.)

Les principaux critères pour entrer dans le Temple sont les suivants :

- Etre âgé d'au minimum 16 ans, femme ou homme, pas d'importance mais humanité requise.
- Être Catholique.
- Ne pas faire partie d'un autre ordre.
- Être en parfaite santé mentale et physique (ne pas être estropié)
- N'avoir soudoyé personne pour être reçu dans l'ordre
- Être homme libre (l'esclave d'aucun homme)
- Ne pas être excommunié.